• A Cluny, des jardins ouverts pour aider l'association Jardins et Santé

    Pour aider l'association Jardins et Santé, Deux familles ouvrent leurs jardins :

    Article emprunté au JSL

     

    Le patrimoine dans les jardins


     
     
    le 20/09/2012 à 05:00 par Monic Coutheron (CLP)  
    Mme et M. Perras entretiennent plus de 500 variétés de vivaces, simples et plantes odorantes.  Photo M. C. (CLP)

    Mme et M. Perras entretiennent plus de 500 variétés de vivaces, simples et plantes odorantes. Photo M. C. (CLP)

    Une nouvelle initiative a vu le jour en Clunisois, lors des journées du Patrimoine : l’ouverture de jardins au service de la santé. Deux familles ont ouvert les leurs… avec succès.

     

    L’ouverture de jardins au service de la santé a été accueillie avec succès par le public, et initiée en partenariat avec Jardins et santé, une association à but médico-social, créée fin 2004. Elle est constituée de paysagistes, d’architectes, de jardiniers amateurs, de médecins et de personnes confrontées au handicap, tous convaincus de l’influence bénéfique du jardin et du jardinage sur les personnes atteintes de maladies cérébrales.

    Le principe de cette nouvelle opération est simple : des propriétaires de jardins s’engagent bénévolement à ouvrir les portes de leurs jardins lors d’événements ponctuels. Les contributions demandées aux visiteurs sont reversées à Jardins et santé, permettant ainsi de financer des jardins à but thérapeutique en milieu hospitalier, en maisons de retraite et en instituts médico-éducatifs, ainsi que la recherche sur les handicaps liés aux maladies cérébrales.

    Sur Cluny même, (Le Moulin de Messeugne étant le troisième participant) ce week-end, deux familles ont ainsi ouvert leur jardin : Mme et M. Gairret, rue Saint-Odil, avec une vue imprenable sur les trois clochers (Notre Dame et abbaye) et Mme et M. Perras, propriétaires des vestiges de la chapelle Saint-Odilon, en haut de la ville. De vrais petits paradis !

    Depuis plus de dix ans, Xavier Perras entretient deux grands espaces, l’un de vivaces l’un de plantes odorantes et de simples. Soit 500 variétés. « Une vraie passion, confie-t-il, mais qui nécessite beaucoup de temps. Tous les quatre ou cinq ans, il nous faut diviser les touffes et chaque printemps déménager une cinquantaine de pieds, sans oublier de détruire à la gouge les boutons d’or, pissenlits et autres herbes indésirables ! » Beaucoup de travail mais une véritable source d’apaisement pour les jardiniers… et les visiteurs.


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